Née le 14 juillet 1975
Vit et travaille à Marseille.
Mariée et maman d’un petit Jules.[/vc_column_text][vc_empty_space height= »14″][edgtf_button type= »solid » size= » » text= »CV d’auteur (resume) » target= »_blank » icon_pack= »font_elegant » fe_icon= »icon_download » font_weight= » » link= »https://www.sophiegotti.fr/wp-content/uploads/2019/04/DEMARCHE-CV-auteur.pdf » color= »#dd5a5a »][vc_empty_space height= »62″][vc_column_text]« Je ne serai pas célèbre ou grande. Je continuerai à être aventureuse, à changer, à suivre mon esprit et mes yeux, refusant d’être étiquetée et stéréotypée. L’affaire est de se libérer soi-même: trouver ses vraies dimensions, ne pas se laisser gêner. »
Virginia Woolf,- Journal d’un écrivain.[/vc_column_text][vc_empty_space height= »62″][vc_column_text]RETROUVEZ-MOI sur le net[/vc_column_text][vc_separator][vc_empty_space height= »14″][vc_column_text]Site officiel : www.sophiegotti.fr
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- Auteur photographe depuis 2009
- Créatrice du Café Photo Marseille (CPM) depuis 2008
- Co-fondatrice et Présidente du Café Photo Marseille (CPM) depuis 2013
- Créatrice de la marque Solstice d’Hiver en 2016
- Co-fondatrice du collectif Les Alternati en 2017
Parmi les travaux qui caractérisent la diversité de mon travail, on retrouve une de mes dernières séries « Sublimes créatures » – actuellement en cours – qui me permet de laisser libre cours à mon imagination et à mon goût pour les univers étranges et oniriques inspiré par les univers cinématographiques de réalisateurs comme Tim Burton ou David Lynch, mais aussi d’écrivains comme Asimov, Barjavel ou Tolkien.
Dans un autre style, j’ai aussi une série que j’affectionne, « Jungle urbaine », ayant pour sujet la lente déshumanisation qui règne à Paris et qui jure amèrement avec les témoignages d’amour qu’on retrouve dans la ville des amoureux.
Toujours en cours, ma série «Instants monochromes » démarrée en 2008 et travaillée exclusivement au format 6X6 argentique Holga – appareil chinois tout en plastique – qui a déjà fait l’objet d’un livre éponyme – dont le tome 2 est en préparation. Cette série s’enrichit de nouveaux clichés au gré de mes moments de solitudes et de mes voyages. « De la contrainte de ne pouvoir faire ni mise au point, ni réglage de l’ouverture, j’en retire une incroyable liberté photographique. Cela permet de me recentrer sur l’essentiel et de revenir aux fondamentaux : le sujet, la composition de la photo et la gestion de lumière, appréciée à l’œil nu, sans cellule. » Hors Cadres ou une autre manière de concevoir la photographie, c’est un peu la low-photographie qui s’inscrit dans le temps et dans l’espace.
« C’est sans doute la démarche qui me correspond le mieux car elle se refuse de répondre aux codes actuels du fait du choix de l’appareil, rudimentaire, du temps pris pour constituer cette série, encore en cours à ce jour et démarrée depuis près de 10 ans. Dans cette série, faite exclusivement en argentique 6X6, les photographies n’ont aucun lien entre elles. Elles ne racontent pas d’histoire et ne répondent pas à une démarche particulière. Elles ont par contre comme point commun d’être toutes vides d’humanité. Pourtant il s’en dégage une certaine esthétique de l’absence. Où même les endroits abandonnés, dévastés par les années sont habités. L’utilisation d’un appareil argentique tout en plastique le HOLGA renforce à mon sens cette mise en abîme de la technique au profit de l’anecdotique de l’instant. Le choix du Noir et Blanc permet de gommer aussi toute temporalité de ces images. Il en ressort une unité alors que les lieux et les sujets diffèrent. En voulant continuer à faire vivre la photographie argentique et alternative nous nous plaçons nous-même en tant que photographe dans une démarche. Nous sommes Hors du réel. Hors du temps. Hors Cadres. Comme ces instants monochromes. »
Un univers que l’on retrouve, parfois presque angoissant, dans une de mes séries « Visions nocturnes » ou encore « Natures mortes » (2012), où l’humain n’a laissé qu’une trace indélébile derrière lui que je m’amuse à souligner.
« Je ne m’estime pas être quelqu’un de triste ou de torturée. Pour autant, malgré une nature joviale et énergique, je suis foncièrement mélancolique, mais dans un spleen créateur. Je me suis toujours sentie seule au milieu des autres. Et je pense que ce sentiment transparaît au travers de toutes mes photos, même les portraits. J’essaie de capter une émotion afin de générer aussi une émotion chez le spectateur. Mes photos sont à mon image, au risque d’inquiéter parfois mes proches (rires). Avec le temps, je me rends compte que je m’éloigne
de plus en plus du réel en m’orientant vers un « produit fini » mélangeant différentes techniques artistiques comme la peinture et le collage voire le point de croix ! Je finis parfois mes cyanotypes à l’aquarelle. Je ne me refuse aucune limite. Faire de la photo, c’est aussi savoir se libérer et enfreindre les règles. »[/vc_column_text][vc_empty_space height= »24″][vc_empty_space height= »27″][edgtf_social_share type= »list » icon_type= »font-awesome »][vc_empty_space height= »30″][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row content_text_aligment= » » use_row_as_full_screen_section= »no » css= ».vc_custom_1466601214299{padding-top: 24px !important;padding-bottom: 35px !important;background-color: #fbfbfb !important;} »][vc_column][/vc_column][/vc_row]